Si tu savais…

  • Si tu savais le don de Dieu
    Si tu savais combien tu es connu et aimé !
    Laisse-toi aimer, même dans les moments de fragilité
    Apprends à recevoir, à accueillir, à t’abandonner.
  • Si tu savais combien tu es exceptionnel
    Tu es une légende, une histoire sacrée, un mystère.
  • Si tu savais que c’est dans tes propres racines
    Que loge la sève de ton avenir
    Tu as des ressources, un potentiel cumulé à déployer
    Tu peux relever moult défis et cocher bien des cases.
  • Si tu savais que ta vie n’est pas à la dérive,
    Elle a un but, un sens
    Tu es né pour de grandes choses.
    Le plus grand déshonneur,
    N’est pas de n’avoir pas pu atteindre tes rêves,
    Mais de n’en avoir pas eus à atteindre.
  • Si tu savais qu’au plus intime de toi,
    Dans ta crypte intérieure,
    Il y a un sanctuaire de Présence infinie.
    Ton âme languit, soupire, y aspire !
    En plein silence,
    Apprends à respirer la Présence aimante de Dieu en toi.
  • Si tu savais que l’Esprit-Saint irrigue
    Ton cœur de l’amour de Dieu
    Comme une orange,
    Ton cœur est gorgé de jus d’amour à donner.
  • Si tu savais qu’il ne manque pas de merveilles autour de toi,
    Mais d’émerveillement.visage enfant
  • Si tu savais que d’une crise peut éclore la croissance,
    Qu’à l’envers des nuages, il y a toujours mille soleils !
  • Si tu savais qu’il vaut mieux arroser les fleurs
    Plutôt que les mauvaises herbes
    Que le moyen naturel d’éteindre un incendie, un conflit
    Est de le priver de tout apport d’oxygène.
  • Si tu savais …, si tu savais
    C’est un devoir de conscience
    Qui éveille l’attention aux signes de la grâce
    Exorcise bien des peurs,
    Aide à nouer avec la liberté intérieure, le sourire, la confiance !

Vital Nlandu, votre curé-doyen

Cet article a été publié dans Actualité, Le mot du curé, Réflexion spirituelle, Si tu savais. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Un commentaire pour Si tu savais…

  1. Ping : Le Bulletin mensuel : Si tu savais… | Unité pastorale de Malmedy

Les commentaires sont fermés.